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Des parents, grands-parents ou autre parenté qui établissent un compte ''en fiducie pour'' destiné à financer des coûts d'études, un acompte pour une première maison ou toute autre dépense future majeure, à titre d'aide pour une personne chère. Objectifs : 1 - Maximiser la croissance en faveur du/de la bénéficiaire du compte ''en fiducie pour''. 2 - Éliminer les coûts fiscaux inutiles d'attributions des revenus Aller plus loin : prenez contact avec moi à [email protected] et feuilletez l'étude de cas ici.
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Découvrez mon dernier article dans la rubrique ''s'éduquer'' sur l'hypothèque inversée.
''Le Canadian Home Income Plan (CHIP) (programme canadien de revenu résidentiel), offert par la banque HomEquity, est la principale source d'hypothèques inversées au Canada. ... Avec une hypothèque inversée, vous n'effectuez pas de paiement. L'intérêt sur votre prêt hypothécaire inversé s'accumule et l'avoir que vous détenez dans votre maison diminue. Si par contre vous vendez votre maison ou si votre maison n'est plus votre résidence principale, vous devez rembourser le prêt et payer les intérêts accumulés. Avant d'opter pour un prêt hypothécaire inversé, prenez le temps de bien comprendre toutes les conditions qui s'appliquent, et de comparer les avantages et les inconvénients de ce mode d'emprunt.'' ...En savoir plus. L’attitude des préretraités canadiens vis-à-vis de leur endettement préoccupe Morningstar Canada. La firme d’information financière estime que les personnes concernées font preuve d’« apathie » lorsqu’elles tirent leur révérence au marché du travail avec un passif dans les six chiffres. « L’endettement est plus socialement accepté et les gens gobent la notion qu’être endetté est acceptable du moment que la valeur de leur avoir net augmente », déplore Morningstar Canada. L’ennui, c’est que cette conception renferme trois pièges. 1. Le piège de l’actif qui s’apprécie Si on achète une maison à 300 000 $ avec un prêt hypothécaire de 250 000 $, il est possible que la valeur de la maison augmente, mais il est tout aussi possible qu’elle diminue. « Le montant que vous devez, cependant, ne diminuera qu’au fur et à mesure de vos remboursements », note-t-elle. On pourrait croire qu’une poignée de préretraités vivent dans ce nuage. Mais non. Une étude du Groupe Investors en 2010 a révélé que 56 % des Canadiens ne considéraient pas le remboursement de leur hypothèque comme un facteur décisif pour partir à la retraite. Qui plus est, seuls 56 % se retirent sans dette, comparativement à 61 % il y a un an, d’après un sondage récent, mené celui-là par RBC. 2. Le piège des taux d’intérêt Les personnes qui sont dans la soixantaine et qui partent à la retraite endettés basent leur décision de continuer à payer une hypothèque sur la modicité des taux d’intérêt. Erreur! « Si, dans 10 ans, il y a des taux d’intérêt à 8 %, quel sera alors le pourcentage de votre argent qui devra passer dans le remboursement de votre prêt? Vous serez à un âge où vous ne pourrez plus reprendre une carrière. C’est un raisonnement superficiel et très émotif », indique Kurt Rosentreter, un conseiller consulté par Morningstar Canada. 3. Le piège de l’héritage Les retraités qui espèrent recevoir de gros héritages de leurs parents âgés pour se tirer d’affaire font fausse route, dit Michael Berton, un planificateur financier interviewé par Morningstar Canada. D’une part, rien ne garantit que ces héritages seront solidement nantis. D’autre part, il est possible que l’argent soit légué à des œuvres de bienfaisance, par exemple, au grand dam des enfants. Même endettés, de nombreux Canadiens choisissent de partir à la retraite en disant qu’ils réussiront à rembourser leurs créanciers. Dans bien des cas, malheureusement, c’est une illusion. « Je préfère leur dire de continuer à travailler jusqu’à ce qu’ils aient tout remboursé compte tenu du coût de l’endettement. Si vous avez 63 ans et encore un taux d’endettement à six chiffres et que vous voulez prendre votre retraite, vous violez toutes les règles élémentaires en matière d’argent », souligne Kurt Rosentreter. Le problème, c’est qu’il n’est pas facile de les convaincre. Pour y parvenir, Kurt Rosentreter doit leur présenter des projections de revenus et établir avec eux un budget de retraite. Devant la froide réalité des chiffres, certains retraités décident de se trouver un emploi à temps partiel qui leur procure de l’argent nécessaire pour rembourser leurs dettes. D’autres prennent les grands moyens : ils vendent leur maison, partent travailler à l’étranger, par exemple, afin d’amasser un pactole, reviennent au pays avec des économies considérables, effacent leurs dettes puis recommencent à neuf sur de nouvelles bases. Quelle que soit la solution qu’ils comptent retenir, les préretraités et retraités canadiens doivent penser à la génération suivante. En effet, s’ils ne font rien, quel message les baby-boomers communiquent-ils à leurs enfants en prenant leur retraite endettés ? « C’est un précédent dangereux à établir pour leurs enfants, qui seront alors encore plus en difficulté », déplore Kurt Rosentreter. Excellent article paru dans ''conseiller.ca'' du 7 juin 2011
C'est avec plaisir que je mets ici un lien vers un article pour lequel j'ai collaboré. Écrit par Dominique Lamy, journaliste et rédacteur indépendant, et paru dans le magazine spécialisé ''conseiller'' du mois de juin 2011. Voici le lien vers le magazine au complet dans lequel vous trouverez d'autres articles intéressant. http://is.gd/fCLsxS Sinon, voici directement l'article en pdf :
Un Canadien sur quatre ne sait pas s'il devrait contracter un prêt hypothécaire à taux variable ou fixe, selon un récent sondage mené pour le compte de la CIBC.
Près de 39 % des répondants affirment qu'ils opteraient pour un prêt hypothécaire à taux fixe s'ils avaient à choisir maintenant entre un taux fixe et un taux variable alors que 32 % choisiraient plutôt un prêt hypothécaire à taux variable. Une majorité des répondants, soit 61 %, croient que les taux d'intérêt auront grimpé d'ici un an, tandis que 24 % croient que les taux resteront stables au cours des 12 prochains mois. Seuls 3 % des répondants croient que les taux d'intérêt seront moins élevés dans un an qu'ils ne le sont aujourd'hui. Chez les 25 à 34 ans, qui souhaitent devenir des nouveaux propriétaires, seuls 27 % choisiraient un prêt hypothécaire à taux variable. Cette proportion grimpe à 42 % chez les répondants âgés de 45 à 54 ans, dont un plus grand nombre en seraient à la fin de leur remboursement hypothécaire et auraient plus de tolérance quant à l'incidence des fluctuations des taux sur leurs paiements hypothécaires. 03.06.2011 - 08:50 - Finance et Investissement Je vous propose de poursuivre en lisant mon article publié en janvier dernier traitant ce sujet : http://is.gd/94DHTL Paraphrasons l’humoriste Yvon Deschamps : les retraités sont plus heureux lorsqu’ils sont riches et en santé, plutôt que pauvres et malades. Voilà la conclusion qu’on peut tirer d’un sondage TD Waterhouse mené en avril dernier auprès de 1 000 retraités Canadiens et Québécois. L’étude démontre que la plupart des retraités québécois profitent agréablement de la retraite, mais que bon nombre d’entre eux ont toujours des préoccupations financières. En effet, beaucoup de participants (26 %) ne sont pas certains d’avoir économisé suffisamment pour faire ce qu’ils veulent. Quatorze pour cent ont même peur que leurs épargnes ne s’épuisent avant leur décès. Les retraités québécois disent que le premier conseil financier qu’ils auraient souhaité recevoir avant leur retraite est : mettez de l’argent de côté, et bien plus que ce vous pensez avoir besoin (49 %). Ils auraient également apprécié qu’on leur dise de rembourser toutes leurs dettes avant d’arrêter de travailler (23 %), de consulter un conseiller financier (20 %) et de ne pas quitter leur emploi trop tôt (19 %). À l’intention des personnes qui planifient actuellement leurs vieux jours, ils leur recommandent de prendre le temps de réfléchir à ce qu’ils attendent de la retraite (64 %), de s’occuper de leur santé (63 %), de rembourser leurs dettes (49 %) et de se trouver des loisirs et des intérêts autres que le travail avant de prendre la retraite (44 %). Face à ces constats, Richard La Ferrière, chef de région, planification financière pour le Québec à TD Waterhouse, propose les conseils suivants pour maintenir les épargnes sur la bonne voie, peu importe l’âge ou la situation financière des préretraités. À 20 ans de la retraite Il est important de commencer à planifier. Nul besoin d’être libre de dettes pour épargner en vue de la retraite. « Si vous remboursez vos dettes et versez des cotisations dans votre RER, dit-il, vous serez dans une meilleure situation à long terme. » Il est également possible d’utiliser les remboursements d’impôt liés aux cotisations REER pour payer les dettes. À 10 ans de la retraite Le moment est propice pour faire le point sur le plan d’épargne. En consultant un conseiller financier, on peut faire le suivi des progrès et de corriger le tir si nécessaire. On tiendra compte des objectifs de placement, du temps qu’il reste avant la retraite et de sa tolérance au risque. Ces éléments permettront d’élaborer une stratégie de placement qui maximise les rendements d’un REER. À 5 ans de la retraite « Prenez le temps nécessaire pour planifier ce que vous comptez faire avec l’argent accumulé dans votre compte RER. Lorsque viendra le temps de convertir votre RER, vous devriez envisager un FRR ou une rente viagère », souligne Richard La Ferrière. Ceux qui ont plusieurs REER ou FERR auraient avantage à les regrouper pour plus de commodité. « En détenant tous vos placements auprès d’une seule institution financière, vous pouvez réduire vos frais globaux de gestion de compte », note l’expert. « Il faut beaucoup plus que de l’argent pour concrétiser votre rêve de retraite. Mais sans une épargne suffisante, il est presque impossible de vivre une retraite confortable et satisfaisante », conclut Richard La Ferrière. Excellent article paru dans ''conseiller.ca'', signé par Ronald McKenzie le 31 mai 2011.
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Permettez-moi de vous souhaiter à tous, la bienvenue sur le blogue.
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