Jeudi le 8 mars, j'étais invitée au lancement de Développement Pink Capital ! Vous auriez voulu être des nôtres comme la centaine de femmes présentes. J'y allais d'abord pour soutenir et voir briller une femme que je connais bien. Une femme qui dégage tellement d'énergie que je l'appellerais bien ''un aimant à p'tits bonheur''. C'est ma jeune tante Chantal Savard, une des 4 fondatrices de Développement Pink Capital. Le concept de Développement Pink Capital, c'est l'opportunité de s'éduquer, de s'entourer et de passer à l'action en immobilier au sens large du mot, c'est à dire de la brique à la gestion de portefeuille immobilier. J'ai donc assisté la présentation de ''L'aventure Pink'' : des cours spécialisés, des accompagnements, des examens physiques de bâtiments, des acquisitions, du réseautage... Hé bien, j'ai été prise par surprise!
Cette soirée était non seulement pétillante (merci pour les bulles), mais il y avait aussi énormément de bienveillance, d'ouverture et même de complicité chez les participantes. Cette ambiance incroyable a donné à toutes l'envie d'une mise en commun pour le bien du groupe. La magie de la Galerie 203 (Vieux-Montréal) fait aussi son effet avec des artistes fascinants qui exposaient ce soir-là. Il ne faut pas oublier le pianiste (seul gars de la place qui est resté méga discret) et la perle que nous a offert Patsy Gallant avec sa nouvelle chanson fort touchante. Bref, vous aurez compris que tous les ingrédients étaient là pour se parler entre femmes. On a parlé d’argent, d’immobilier, de business….avec des mots juste, fort, et sans détour; On a parlé d'art, d'authenticité, de cœur....avec des mots juste, fort et sans détour; On a parlé de pouvoir, de cohésion, d'ambition...avec des mots juste, fort et sans détour. Développement Pink Capital devient LA plateforme pour les femmes qui veulent construire un empire immobilier à LEUR image. DPC c'est déjà une expérience de 270 portes résidentielles et multiplex sur l'île de Montréal avec des contacts privilégiés sur l'île de Manhattan et l'île de Cuba. Ce soir du jeudi 8 mars 2018, moi, j’y ai vu des leaders, des moteurs de changement dans notre société, des femmes de décisions qui passent à l'action ! Merci Karyna, Chantal, Corinne et Annie. L’art, l’humain et la finance se sont réunis pour développer un projet, une vision digne d'une société du 21e siècle ! Comme moi, vous pouvez faire partie de l'aventure Pink. Rejoignez-les sur Facebook : Développement Pink Capital
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REEP - Régime d'encouragement à l'éducation permanenteOn sait très bien que le temps où l'on pouvait passer sa vie dans la même entreprise à exercer le même métier est révolu. Autour de moi, plusieurs retournent sur le banc d'école pour apprendre un nouveau métier ou se perfectionner.
Et qui dit retour aux études dit frais en tout genre donc besoins de liquidité ! Une stratégie possible s'offre à vous si vous avez un régime enregistré d'épargne retraite (REER). Il s,agit du REEP. Le REEP, comme le RAP (régime d'accession à la propriété) vous permet de sortir de l'argent de votre REER sans pénalité. Mais saviez-vous que vous pouviez également utiliser le REEP pour les études de votre conjointe ? Le régime d'encouragement à l'éducation permanente (REEP) vous permet de retirer des fonds de votre REER pour financer votre formation, vos études ou celles de votre conjointe (épouse ou conjointe de fait). Pour cela il faudra remplir entre autres, 2 grosses conditions :
Il vous faudra ensuite rembourser à VOTRE REER vos retraits REEP sur une période maximale de 10 ans, soit 1/10 du montant total des retraits à chaque année. La période du début des remboursements varie de 2 ans à 5 ans suivant si vous êtes encore aux études ou non. Passé la cinquième année de votre retrait vous devez de toutes façons démarrer le remboursement de votre REEP. Pour plus d'informations ou pour une stratégie personnalisée, communiquez avec moi : msalomon@videotron.ca On parle de plus en plus d'un recul, d'une correction du marché. Alors si cela devait arriver, comment réagirait votre portefeuille ? Je souhaite aujourd'hui vous partager un graphique sur lequel on a attiré mon attention et que je trouve tout simplement génial parce que très simple :)
Il montre la succession des marchés haussiers et baissiers depuis 1926. Il nous fait alors remarquer que les marchés baissiers qui surviennent en même temps qu'une récession sont ceux qui font le plus mal aux portefeuilles. Vous pouvez donc au moins être rassuré puisque nous ne sommes actuellement pas en récession donc si une correction survenait elle ne devrait pas être trop profonde ni longue d'après notre interprétation de l'histoire. Également sur ce graphique, j'attire votre attention sur les différents pourcentages qui y sont présentés, comme la longueur de la période (haussier-baissier), le rendement total sur la période ainsi que le rendement annualisé. Parce que votre seul critère de choix de placement ne devrait pas être le frais ! Aujourd'hui, on vit de l'instabilité sur les marchés et nos clients nous demande de les protéger des fluctuations.
On a tous en tête le graphique de l'investisseur émotif mais allons un peu plus loin que ça et parlons avec des investisseurs pragmatiques. Effectivement, 80% des fonds mutuels disponibles ne battent pas l'indice. Il y a à peu près 8 000 fonds disponibles sur le marché canadien. Ça m'indique que 20% battent l'indice régulièrement. Cependant, ce pourcentage ne devrait pas être votre seul critère de sélection de fonds pour l'investissement. Laissez-moi vous parler de ''ratio de capture à la baisse/hausse''. Qu'est-ce que c'est comme bibitte ça ? C'est un outil qui permet de comparer un fonds à son indice de référence. Voici des noms d'indice : S&P 500, TSX, Dow Jones, Nikkei, Nasdaq.... Un indice a un mode de gestion passive, c'est à dire que c'est le marché lui même qui forme l'indice. Un fonds a un mode de gestion active/dynamique, c'est à dire qu'un gestionnaire choisi les titres qui vont composer son fonds (et imaginez-vous qu'il est payé pour ça....). L'indice fluctue au rythme du marché qui lui ait propre (américain, canada, combiné....). C'est lui qui dicte le mouvement. Le fonds va fluctuer autour de son indice de référence par rapport aux choix qui ont été pris par le gestionnaire. Ces choix peuvent être meilleurs que l'indice ou moins bon MAIS ils peuvent aussi être bien meilleurs ou bien plus mauvais. On parle alors de ratio de capture de hausse ou ratio de capture de baisse. Quand l'indice monte, comment monte le fonds : plus, moins, pareil que l'indice. Quand l'indice tombe, comment tombe le fonds. On exprime cela en pourcentage (donc on parle de ratio). Voici plusieurs ''ratios'' de fonds que j'utilise dans ma pratique 133% ratio de capture de hausse 76% de capture de baisse Annuellement, ça me donne pour ce fonds CANADIEN, un rendement excédentaire de 8%,net de frais, par rapport à son indice (il monte plus quand l'indice monte et descend moins quand l'indice baisse) 99% ratio de capture de hausse 20% ratio de capture de baisse Autre exemple pour un fonds de dividendes. Il monte quasiment autant que son indice de référence mais quand l'indice baisse, il ne baisse que très peu (si l'indice baisse de 1% alors le fonds baisse de 20% de 1% soit 0,2%). Les fonds négocier en bourse sont donc très attrayants par le bas ''prix'' mais vous en paierez le prix sur le long terme ! Imaginer sur une longue période, ce qu'investir dans un fonds avec une gestion dynamique peut vous apporter. Sans compter sur l'approche GLOBALE que vous offre votre conseiller en regardant avec vous l'ensemble de vos stratégies fiscales. Les frais ne sont pas une déduction, c'est un investissement pour gagner plus. D'ici quelques jours, j'ajouterai des tableaux pour ceux d'entre nous qui sommes d'avantage visuel :) Voici une invitation qui pourrait complètement changer votre avenir financier !
Je vous invite, personnellement et gratuitement, au... Séminaire des Solutions Fiscalement Avantageuses, le samedi 2 avril. Vous apprendrez :
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Article très intéressant de Deanne Gage dans le Morningstar du 18 déc. 2014. On y parle de stratégies fiscales des couples baby-boomers ''proche de'' ou à la retraite. Stratégies fiscales pour les baby-boomers vieillissants Le revenu des FERR, des rentes viagères et des régimes de retraite privés peut être divisé. Les baby-boomers et les aînés commençant à toucher un revenu de pension provenant d'un régime de retraite ou d'autres sources devraient songer à se renseigner sur le partage des revenus de pension. Un(e) conjoint(e) de droit ou de fait peut partager 50 % de son revenu de pension admissible lorsque l'autre touche un revenu inférieur. C'est avantageux pour les couples si les conjoints se situent dans des tranches d'imposition différentes. Permettre à la personne qui touche le revenu le plus élevé de le partager avec l'autre se traduit par des économies d'impôts. « Le Canada est doté d'un système fiscal progressif, ce qui signifie qu'à mesure que notre niveau d'impôts augmente, notre taux d'imposition sur le revenu augmente aussi », dit Frank DiPietro, directeur de la planification fiscale et successorale à Placements Mackenzie. « Le partage des revenus permet d'alléger le fardeau fiscal. » Procéder à un partage des revenus ne veut pas dire que le couple doive diviser la façon dont chacun reçoit son revenu de retraite, mais plutôt que le calcul de partage du revenu et la transmission de ces informations sont effectués directement sur le formulaire de déclaration d'impôt. Voici comment ça marche. Disons que Roméo a 75 ans et qu'il touche 25 000 $ de son fonds enregistré de revenu retraite (FERR) cette année. Roméo déclarera ce montant de revenu sur sa déclaration d'impôts. Ensuite, il remplira avec sa femme Juliette un formulaire pour déclarer dans quelle proportion ils ont l'intention de partager ces 25 000 $. S'il s'agit de la moitié du revenu, soit 12 500 $, Roméo aura droit à une déduction d'impôts de 12 500 $ tandis que Juliette déclarera un revenu de 12 500 $ sur sa déclaration d'impôt à elle. La plupart des aînés sont au courant du partage des revenus de retraite, puisque cette mesure a été instaurée il y a sept ans, dit Leony deGraaf, planificatrice financière agréée auprès de deGraaf Financial Strategies, à Burlington, en Ontario. Cela dit, certain nouveaux clients n'ont jamais fait examiner leur déclaration d'impôt ou leur avis de cotisation par un conseiller pour déterminer à quel point ils ont intérêt à partager. « Rendons-nous à l'évidence, la planification financière commence et finit bel et bien par les impôts, dit Mme deGraaf. Sans ces renseignements, il manque une pièce importante du casse-tête. » Pour cette raison, M. DiPietro de Mackenzie recommande de travailler avec un spécialiste de la fiscalité pour déterminer le bon montant à transmettre au conjoint. Il fait également remarquer que la plupart des logiciels professionnels de déclaration d'impôts fournissent des calculs d'optimisation permettant de déterminer précisément le montant de revenu à transmettre au conjoint afin d'optimiser l'abattement fiscal. « Ce n'est pas parce qu'on a le droit de transférer jusqu'à 50 % qu'il faut le faire au dollar près, dit-il. Ça peut être moins. Tout dépend de la situation et des revenus de chacun. » L'une des stratégies de Mme deGraaf est de s'assurer que les couples retraités se trouvent dans la tranche la plus avantageuse du point de vue fiscal. Par exemple, si Roméo a un revenu de retraite admissible de 75 000 $, il se trouve dans la tranche d'imposition de 33 %. Juliette ne touche pas de revenu de retraite, mais paierait 21 % sur les premiers 44 000 $. Si Roméo transfère 37 500 $ (50 % de son revenu de retraite) à Juliette, cela les placera tous deux dans la tranche d'imposition de 21 %. La confusion entourant le partage des revenus de pension provient souvent de ce qui est admissible comme revenu de pension. Cela dépend de l'âge des intéressés, mais généralement le revenu admissible est identique à ce qui est admissible au crédit d'impôt pour revenu de pension. Si vous êtes un conjoint âgé de 65 ans ou plus, vous pouvez partager le régime de pension de votre employeur, votre FERR, vos rentes viagères et un régime de pension agréé collectif (RPAC). Si vous avez moins de 65 ans, vous pouvez quand même partager votre régime de pension de l'employeur. Toutefois, vous ne pouvez partager votre FERR, votre rente viagère ou votre RPAC que si vous recevez ce revenu à la suite du décès de votre conjoint, déclare M. DiPietro. « Le revenu admissible est bien plus flexible lorsque l'on atteint l'âge de 65 ans. » Les versements effectués au titre du Programme de la sécurité de la vieillesse et du Régime de pensions du Canada ne sont pas admissibles au partage des revenus, peu importe l'âge. Le RPC fait d'ailleurs l'objet d'un partage des revenus séparé, appelé partage des pensions. Contrairement au partage des revenus de pension, le partage des pensions du RPC n'est pas effectué par le biais de la déclaration d'impôts. Les couples doivent en faire la demande en remplissant le formulaire ISP1002, et en l'envoyant directement à Service Canada. Quand vient le temps de toucher une prestation du RPC, un retraité peut choisir de partager cette pension ou de combiner les remboursements que chacun a accumulés pendant la période où ils étaient ensemble, dit Mme DiPietro. Ensuite, Service Canada versera directement le montant partagé à chaque conjoint tous les mois. Pour plus d'information, contactez-moi ! msalomon@videotron.ca ou 514 707-2798
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