Peu de mot aujourd'hui mais des chiffres qui en disent long ! Pour me contacter : 514 707-2798 ou par courriel au [email protected] Voici 2 rendements de 5% sur une période de 10 ans : Quel est l'impact sur vos placements ? En phase de décaissement, c'est encore plus convainquant ! En phase d'accumulation : Si 100 000$ sont placés pendant la période prévue, on constate qu'indépendamment des rendements annuels, le capital final reste le même. En phase de décaissement : Si l'on effectue des retraits (décaissement), l'ordre des rendements a une influence considérable sur le solde (voir l'illustration ci-dessous). L'hypothèse ici, est un décaissement de 7% par an. La théorie voudrait que si le décaissement est de 7% et le rendement est de 7%, alors le solde (le capital) ne devrait pas varier, n'est-ce pas ? C'est affirmation est exacte si les rendements sont les mêmes chaque année, mais inexacte si l'on utilise des portefeuilles aux rendements volatiles-variables année après année. La différence entre la deuxième et la troisième hypothèse de retrait est de 28 942$ ou 35%, et ce, malgré le fait que chaque hypothèse de placement tient compte d'un rendement annualisé de 7%. Autrement dit, il faut faire extrêmement attention lorsqu'on structure un portefeuille et que l'on établit la manière de percevoir un revenu et les placements qui serviront à le générer. Billet écrit en combinant 2 sources : fin stratège de C K. Langford et Standard Life
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L'article qui suit a été écrit et publié par Fabien Major, le vendredi 24 janvier 2014 sur son site WordPress. C’est un peu déprimant de constater qu’en moyenne, au cours des 20 dernières années, les investisseurs ne se sont aucunement enrichis. L’inflation a été de 2,5 % et les gains annualisés des épargnants ont été du même niveau, 2,5 %. c’est la firme de recherche indépendante Dalbar qui a compilé les résultats.
2,5 % annuel composé, c’est étonnant et pas mal décourageant. Durant la même période, l’indice S&P500 a pourtant gagné 8,2 %, le pétrole en a pris 8,1 %, les obligations ont poussé de 6,3 % et en fin de peloton, l’immobilier s’est apprécié de 3,7 % par année (excluant les taxes, rénovations, frais de notaire et courtage). Source: Fonds Edgepoint 2014 5 raisons qui expliquent pourquoi l’investisseur obtient de si faibles résultats. 1-Le réflexe de l’investisseur novice est d’acheter des placements qui ont déjà monté et de vendre ceux qui baissent. Les gestionnaires institutionnels font le contraire, et ça réussit la plupart du temps. 2-De plus en plus d’investisseurs autonomes choisissent la négociation boursière sur internet comme «hobby». Ils puisent leurs idées dans les forums de discussion et dans les articles de journaux et sur les blogues. Ils font ce qu’il y a de pire: ils tentent de battre le marché. 3-De nombreux investisseurs se sentent incapables de «laisser tranquilles» leurs placements. Comme certaines personnes avec les meubles du salon, si ça ne change pas de place au moins 2 fois par année, ils étouffent! Pourtant déplacer ses actifs au mauvais moment peut complètement annuler le rendement potentiel. 4-Plusieurs gèrent «par-dessus» leurs gestionnaires. Ils ont de bons fonds de pension ou de bons fonds communs dans leurs REER et CELI et sans rien analyser ou comparer, ils les vendent «pour prendre des gains». Ils oublient que l’équipe de gestion de leurs fonds n’a pas les bras croisés! Les fonds gérés activement s’ajustent stratégiquement dans les moments opportuns. Certains ont un taux de rotation des titres de 100 %. 5-Les banques et caisses sont des machines de marketing. La VENTE au comptoir et dans le courtage à escompte, sans conseil ni planification cause de sérieux dommages. Chaque année, pour améliorer les bonis et primes des dirigeants et pour soutenir la croissance de l’action de leur institution, elles déploient de savantes campagnes de pubs aussi efficaces que celles des vendeurs de boissons gazeuses ou de malbouffe. ... Dans ce guide, découvrez 12 fraudes classiques et des questions importantes à se poser avant d'investir ! Si vous avez des questions, n'hésitez pas : [email protected]
via www.lautorite.qc.ca
2 questions auxquelles le site de l'agence de la consommation en matière financière du Canada répond : - Comment les frais de remboursement anticipé qui me seront imposés seront-ils calculés si je résilie mon contrat hypothécaire avant la date d'échéance de mon terme actuel ?
Et - Pourquoi devrais-je porter une attention spéciale aux privilèges de remboursement anticipé et aux frais de pénalité lorsque je magasine pour une hypothèque?
Maud Salomon - 514 707 2798 - [email protected] Saviez-vous que les investisseurs qui consultent un conseiller financier réussissent à se bâtir un patrimoine d'une valeur nette 4.2 fois plus élevée que ceux qui n'en consultent pas ? 1 Commencer par élaborer un plan d'investissement et de retraite pour maximiser vos chances d'avoir suffisamment d'argent à la retraite; 2 Établir un plan d'épargne pour financer vos futurs achats importants, comme l'acquisition d'une maison, d'une voiture, d'un chalet, ou même un mariage; 3 Épargner du temps afin que vous puissiez concentrer votre attention sur d'autres décisions d'investissement importantes; 4 Minimiser le risque et ne pas toujours suivre le comportement des autres, même en période de conjoncture défavorable; 5 Réduire votre endettement et à épargner pour l'avenir; 6 Prévoir de l'argent en cas d'urgence; 7 Maintenir le cap sur vos objectifs; 8 Investir votre argent de manière avantageuse sur le plan fiscal afin de réduire vos charges fiscales; 9 Évaluer les tendances des marchés et les conséquences qu'ils peuvent avoir sur vos investissements; 10 Établir un régime d'épargne fiscalement avantageux pour financer les études secondaires de vos enfants; 11 Planifier les retraits de votre FERR, tout en assurant une rentabilité maximale sur le plan fiscal; 12 Consolider vos investissements avec ceux de votre conjoint de façon fiscalement avantageuse; 13 Faire le suivi de votre portefeuille et le rééquilibrer en fonction de votre tolérance au risque et de vos objectifs; 14 Planifier la mise sur pied d'une petite entreprise et la vente éventuelle de celle-ci; 15 Positionner votre portefeuille pour profiter autant des marchés baissiers que haussiers; 16 Réviser vos objectifs financiers afin de répondre au parcours changeant de la vie; 17 Élaborer et suivre un budget, en s'assurant de considérer toutes ses conséquences; 18 Travailler conjointement avec des experts, entre autres, un fiscaliste ou un comptable; 19 Prendre une retraite anticipée; 20 Créer et administrer la succession d'un être cher après son décès. Source : AGF Investment - choixjudicieux de janvier 2013
C'est ce que j'ai envie de crier dans la rue ou aux gens de la table d'à côté au resto ou même à cette dame derrière moi à l'épicerie. C'est quasiment sur toutes les lèvres : est-ce que j'aurai assez pour vivre correctement ? Arrêtez de vous poser la question et demandez. Avez-vous peur de savoir ? Une photo ! C'est un bilan de votre situation actuelle. C'est à partir de là que l'on peut travailler, vous et moi. N'êtes-vous pas curieux de connaître votre réelle situation financière, de savoir si on peut organiser le tout et de comprendre la stratégie à mettre en place pour prospérer. C'est exactement ce que je propose : S'éduquer, planifier et prospérer ! Laissez moi vous décrire ma façon de procéder :
Contactez-moi : 514 707-2798 ou [email protected]
En fin de semaine quelque part au Québec, j'ai eu un rendez-vous d'affaires.
Entre job et études, ce jeune homme de 18 ans trouve dans son horaire de semaine d'examens un temps pour me rencontrer et parler de ses finances. Mais avant de parler placement, je veux en savoir un peu plus sur lui, ses études, son travail et ses projets. Donc, c'est un jeune de 18 ans qui travaille comme caissier-emballeur et qui étudie comme soudeur avec option ''j'travaille fort'' pour obtenir la licence canadienne qui donne accès à l'international, mais il a aussi la soudure sous-marine et la micro-soudure. Il en parle et te donne quasiment le goût de changer de branche ;-) Je sais bien que c'est assez commun au Québec de travailler et d'étudier en même temps. Mais ce qui l'est moins c'est la démarche qu'il entreprend en me rencontrant. En une vingtaine de minutes, je défriche le terrain et plante les premiers principes de la finance avant de parler un peu plus spécifiquement des fonds communs de placement. Puis il me dit : ''ça fait déjà un p'tit moment que j'y pense et là, je veux passer à l'action'' Avec un coup de pouce de son papa pour l'ouverture du compte, il va se payer en premier, c'est à dire qu'il va mettre en place un prélèvement systématique de son propre compte chèque à son propre compte de placement. C'est 50$ par mois qui viendront gonfler son compte de placement et il pense déjà à les augmenter. Laissez-moi traduire. Ce jeune de 18 ans, au lieu de dépenser l'argent que lui donne papa et l'argent qu'il gagne comme caissier-emballeur, va investir pour lui et son avenir. Alors quelle sera ma stratégie pour lui ? Assez simple : on va viser le long terme en passant forcément par des objectifs de moyen terme et donc par une action à court terme. Autrement dit, on investit dans un CELI pour mettre les intérêts à l'abri de l'impôt à court terme. Quand le salaire nous permettra d'avoir un bon retour d'impôt, on transférera vers un REER, tout en se dotant donc de l'option RAP pour sa première maison à moyen terme. Et pour finir on fructifie le tout dans le REER ou le CELI à l'abri de l'impôt pour le long terme. Pour lui, la retraite c'est un mot très abstrait. Il comprenait exactement ce qu'on était en train de mettre en place. Belle jeunesse : articulée, polie et disciplinée ! Pour visualiser en chiffres l'importance d'épargner tôt et comprendre la puissance des intérêts composés. Contactez-moi pour passer à l'action au [email protected] ou au 514 707-2798 Quand j'étais plus jeune, j'ai vu papa et maman trinquer au dernier paiement sur la maison. Aujourd'hui, dans le cadre de mes fonctions, j'entends souvent : ce que j'aimerais, c'est arriver à ma retraite en ayant terminé de payer ma maison.
Les temps changent mais pas forcément dans le bon sens. C'est quasiment 15 à 20 ans de plus que les gens prennent pour payer leur maison. Évidement, je comprends bien que l'on rencontre de moins en moins de particuliers propriétaire à 20-25 ans contrairement à la génération précédente mais toute proportion gardée, l'endettement semble s'être faufilé dans notre vocabulaire usuel. J'écris en ce moment un article que j'ajouterai dans la section ''s'éduquer'' sur comment payer sa maison plus vite avec 4 conseils. Mais avant de se dire : je veux payer ma maison plus vite, il y a une question de bon sens. (il est prêt : voici le lien) Voici un exemple simple avec un couple qui en cumulant leur revenu, gagne 85 000$ brut soit environ 60 000$ net. Selon la bonne vieille règle du budget familiale, on ne devrait pas dépasser 25% de notre revenu pour se loger, soit ici 1 250$. Le couple commence donc à magasiner pour une maison, regarde à droite à gauche, en se donnant un budget max de 280 000$. Puis, pour faire plus sérieux lors des visites, le couple prend rendez-vous à la banque pour obtenir une pré-approbation de prêt. À la banque, lors de la première lecture du dossier, approfondie, leur conseillère hypothécaire du jour, leur offre une pré-approbation pour un prêt de 350 000$. Le couple sort du rendez-vous heureux et recommence de suite à magasiner des maisons, mais cette fois avec dans la tête, un budget de 350 000$. Fini de penser avec leur calcul qui leur donnait 280 000$ max.Dans la tête du couple, cette phrase : ''si la banque me prête ce montant, c'est certainement qu'elle voit que je peux me le permettre''. NONNNNNNN ! Elle va chercher le prêt maximum pour lequel vous aller payer, le plus longtemps possible. Elle ne se soucis pas de votre budget mais elle veut aller chercher le maximum, ce qui va dans ses coffres ne va pas ailleurs. 350 000$ de prêt hypothécaire sur 30 ans, avec un taux de 4%, c'est tout de même des paiements mensuels de 1 600$. Et 350$ de plus par mois dans vos poches, c'est de nombreuses possibilités pour faire fructifier cela en retour d'impôt supplémentaire, en paiement supplémentaire sur la maison, en épargne-études pour les enfants..... (exemple : 350*12=4200$ mis en Reer donneraient environ 1 800$ en retour d'impôt par année, sur 30 ans (sans parler d'intérêts composés) c'est plus de 145 000$. À l'occasion du dernier budget du Québec, en mars, Québec modifiait le Régime de rentes du Québec (RRQ) afin de favoriser sa pérennité. D'abord, à partir de 2012, le RRQ augmentera progressivement le taux de cotisation pendant six ans (0,15 % par année), pour le porter à 10,80 % en 2017. De plus, afin d'encourager les travailleurs expérimentés à demeurer sur le marché du travail, Québec prévoit que la majoration mensuelle de la rente de la RRQ demandée après 65 ans passera de 0,5 à 0,7 % à compter du 1er janvier 2013. De plus, du 1er janvier 2014 au 1er janvier 2016, la réduction mensuelle de la rente demandée avant 65 ans sera haussée progressivement de 0,5 à 0,6 % dans le cas d'une rente maximale. Cette hausse sera proportionnelle au montant de la rente afin de limiter l'impact sur les travailleurs à plus faible revenu. Ces changements ne touchent toutefois pas les clients nés avant le 1er janvier 1954. Extrait de l'Abécédaire 2011 de Finance et investissement
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