C'est ce que j'ai envie de crier dans la rue ou aux gens de la table d'à côté au resto ou même à cette dame derrière moi à l'épicerie. C'est quasiment sur toutes les lèvres : est-ce que j'aurai assez pour vivre correctement ? Arrêtez de vous poser la question et demandez. Avez-vous peur de savoir ? Une photo ! C'est un bilan de votre situation actuelle. C'est à partir de là que l'on peut travailler, vous et moi. N'êtes-vous pas curieux de connaître votre réelle situation financière, de savoir si on peut organiser le tout et de comprendre la stratégie à mettre en place pour prospérer. C'est exactement ce que je propose : S'éduquer, planifier et prospérer ! Laissez moi vous décrire ma façon de procéder :
Contactez-moi : 514 707-2798 ou msalomon@videotron.ca
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Cinq erreurs de base que décrit le conseiller Ian Collings, en entrevue au quotidien The Globe and Mail. 1. Surestimer ses connaissances, sous-estimer les efforts requis. Pour Ian Collings, il s’agit de la plus importante lacune qui frappe les investisseurs autonomes. Typiquement, ceux-ci ouvrent un compte de courtage à commissions réduites puis ils tardent avant d’investir leur argent. Pourquoi? Parce qu’ils ne savent pas quoi acheter. Ou encore, ils se construisent un portefeuille, mais ignorent comment le gérer quand ils y ajoutent du capital. Or, l’argent liquide ne rapporte rien, ou si peu, chez les courtiers à commissions réduites. Pour réussir, les investisseurs autonomes doivent consacrer plusieurs heures par mois à la gestion de leur portefeuille. Ceux qui font preuve d’indiscipline à ce chapitre rééquilibrent mal leurs actifs, la plupart du temps. Ils se retrouvent alors avec des portefeuilles trop concentrés qui vont à l’encontre de leur profil d’investisseur et de leur tolérance au risque. 2. Mal diversifier ses actifs. Cette erreur est la suite logique de la précédente. Dans les cas qu’il a examinés, Ian Collings note que les portefeuilles autonomes négligent la place que doivent occuper les obligations. Déjà surreprésentées, les actions sont souvent choisies à la va-vite en fonction de critères superficiels. Justement créés pour répondre aux besoins des investisseurs autonomes, les fonds négociés en Bourse sont absents de la plupart des portefeuilles. 3. Négliger les coûts. Beaucoup d’investisseurs autonomes se lancent dans cette activité dans le but de payer moins cher. Ils y parviennent en payant des commissions réduites sur les transactions, mais ils se font rattraper de diverses autres manières. Par exemple, lorsqu’ils achètent des actions américaines, ils omettent de calculer les frais dus au taux de change des devises. Ou encore, ils négocient des titres à petits volumes de transactions pour lesquels les courtiers imposent une surcharge par le biais d’un écart élevé entre le cours acheteur et le cours vendeur. Enfin, les investisseurs autonomes ont tendance à transiger beaucoup, ce qui finit par leur coûter cher en regard des résultats obtenus. 4. Mal exécuter les ordres. Autre erreur de débutant : ne pas vérifier un ordre avant de le passer. Ian Collings raconte l’histoire de ce client qui voulait acheter à New York des parts du fonds iShares Gold Trust, dont le symbole boursier est IAU. Le type se trompe et tape IAU, mais à la Bourse de Toronto. Il se ramasse alors avec des actions d’une minière junior, Intrepid Mines. Heureusement pour lui, le titre a bien performé, mais il aurait pu être un bide. 5. Négocier plutôt qu’investir. Les investisseurs autonomes gèrent leurs portefeuilles selon un très court horizon de placement. « Pour participer pleinement au marché, ils croient qu’ils doivent le suivre toutes les heures », dit Ian Collings. Or, cela est le travail des négociateurs, pas des investisseurs. Pour réussir, ceux-ci doivent mettre au point une politique de placement qui définit des objectifs à long terme. Puis, ils doivent diversifier leurs actifs en fonction de leur profil d’investisseur et de leur tolérance au risque. Ensuite, ils doivent faire preuve de patience. « S’ils procèdent autrement, ils font n’importe quoi sauf investir », conclut le spécialiste. Article tiré du site internet de conseiller.ca , du 7 février 2012 sous le titre : ''Cinq erreurs que commettent les investisseurs autonomes''
En fin de semaine quelque part au Québec, j'ai eu un rendez-vous d'affaires.
Entre job et études, ce jeune homme de 18 ans trouve dans son horaire de semaine d'examens un temps pour me rencontrer et parler de ses finances. Mais avant de parler placement, je veux en savoir un peu plus sur lui, ses études, son travail et ses projets. Donc, c'est un jeune de 18 ans qui travaille comme caissier-emballeur et qui étudie comme soudeur avec option ''j'travaille fort'' pour obtenir la licence canadienne qui donne accès à l'international, mais il a aussi la soudure sous-marine et la micro-soudure. Il en parle et te donne quasiment le goût de changer de branche ;-) Je sais bien que c'est assez commun au Québec de travailler et d'étudier en même temps. Mais ce qui l'est moins c'est la démarche qu'il entreprend en me rencontrant. En une vingtaine de minutes, je défriche le terrain et plante les premiers principes de la finance avant de parler un peu plus spécifiquement des fonds communs de placement. Puis il me dit : ''ça fait déjà un p'tit moment que j'y pense et là, je veux passer à l'action'' Avec un coup de pouce de son papa pour l'ouverture du compte, il va se payer en premier, c'est à dire qu'il va mettre en place un prélèvement systématique de son propre compte chèque à son propre compte de placement. C'est 50$ par mois qui viendront gonfler son compte de placement et il pense déjà à les augmenter. Laissez-moi traduire. Ce jeune de 18 ans, au lieu de dépenser l'argent que lui donne papa et l'argent qu'il gagne comme caissier-emballeur, va investir pour lui et son avenir. Alors quelle sera ma stratégie pour lui ? Assez simple : on va viser le long terme en passant forcément par des objectifs de moyen terme et donc par une action à court terme. Autrement dit, on investit dans un CELI pour mettre les intérêts à l'abri de l'impôt à court terme. Quand le salaire nous permettra d'avoir un bon retour d'impôt, on transférera vers un REER, tout en se dotant donc de l'option RAP pour sa première maison à moyen terme. Et pour finir on fructifie le tout dans le REER ou le CELI à l'abri de l'impôt pour le long terme. Pour lui, la retraite c'est un mot très abstrait. Il comprenait exactement ce qu'on était en train de mettre en place. Belle jeunesse : articulée, polie et disciplinée ! Pour visualiser en chiffres l'importance d'épargner tôt et comprendre la puissance des intérêts composés. Contactez-moi pour passer à l'action au msalomon@videotron.ca ou au 514 707-2798 Quand j'étais plus jeune, j'ai vu papa et maman trinquer au dernier paiement sur la maison. Aujourd'hui, dans le cadre de mes fonctions, j'entends souvent : ce que j'aimerais, c'est arriver à ma retraite en ayant terminé de payer ma maison.
Les temps changent mais pas forcément dans le bon sens. C'est quasiment 15 à 20 ans de plus que les gens prennent pour payer leur maison. Évidement, je comprends bien que l'on rencontre de moins en moins de particuliers propriétaire à 20-25 ans contrairement à la génération précédente mais toute proportion gardée, l'endettement semble s'être faufilé dans notre vocabulaire usuel. J'écris en ce moment un article que j'ajouterai dans la section ''s'éduquer'' sur comment payer sa maison plus vite avec 4 conseils. Mais avant de se dire : je veux payer ma maison plus vite, il y a une question de bon sens. (il est prêt : voici le lien) Voici un exemple simple avec un couple qui en cumulant leur revenu, gagne 85 000$ brut soit environ 60 000$ net. Selon la bonne vieille règle du budget familiale, on ne devrait pas dépasser 25% de notre revenu pour se loger, soit ici 1 250$. Le couple commence donc à magasiner pour une maison, regarde à droite à gauche, en se donnant un budget max de 280 000$. Puis, pour faire plus sérieux lors des visites, le couple prend rendez-vous à la banque pour obtenir une pré-approbation de prêt. À la banque, lors de la première lecture du dossier, approfondie, leur conseillère hypothécaire du jour, leur offre une pré-approbation pour un prêt de 350 000$. Le couple sort du rendez-vous heureux et recommence de suite à magasiner des maisons, mais cette fois avec dans la tête, un budget de 350 000$. Fini de penser avec leur calcul qui leur donnait 280 000$ max.Dans la tête du couple, cette phrase : ''si la banque me prête ce montant, c'est certainement qu'elle voit que je peux me le permettre''. NONNNNNNN ! Elle va chercher le prêt maximum pour lequel vous aller payer, le plus longtemps possible. Elle ne se soucis pas de votre budget mais elle veut aller chercher le maximum, ce qui va dans ses coffres ne va pas ailleurs. 350 000$ de prêt hypothécaire sur 30 ans, avec un taux de 4%, c'est tout de même des paiements mensuels de 1 600$. Et 350$ de plus par mois dans vos poches, c'est de nombreuses possibilités pour faire fructifier cela en retour d'impôt supplémentaire, en paiement supplémentaire sur la maison, en épargne-études pour les enfants..... (exemple : 350*12=4200$ mis en Reer donneraient environ 1 800$ en retour d'impôt par année, sur 30 ans (sans parler d'intérêts composés) c'est plus de 145 000$. À l'occasion du dernier budget du Québec, en mars, Québec modifiait le Régime de rentes du Québec (RRQ) afin de favoriser sa pérennité. D'abord, à partir de 2012, le RRQ augmentera progressivement le taux de cotisation pendant six ans (0,15 % par année), pour le porter à 10,80 % en 2017. De plus, afin d'encourager les travailleurs expérimentés à demeurer sur le marché du travail, Québec prévoit que la majoration mensuelle de la rente de la RRQ demandée après 65 ans passera de 0,5 à 0,7 % à compter du 1er janvier 2013. De plus, du 1er janvier 2014 au 1er janvier 2016, la réduction mensuelle de la rente demandée avant 65 ans sera haussée progressivement de 0,5 à 0,6 % dans le cas d'une rente maximale. Cette hausse sera proportionnelle au montant de la rente afin de limiter l'impact sur les travailleurs à plus faible revenu. Ces changements ne touchent toutefois pas les clients nés avant le 1er janvier 1954. Extrait de l'Abécédaire 2011 de Finance et investissement
Encore en gros titre ce matin : S&P abaisse la note des grandes banques américaines. Hier, S&P à la côte AAA de la France à l'oeil, ou encore, Moody's : les notes de l'UE sont menacées, etc... Comme il le fait à chaque annonce de ce genre, le marché boursier va donc baisser ou monter aujourd'hui. Parce que c'est donc bien important de savoir ce que pense ses sociétés de cotations à propos des grandes banques ou des pays européens ou encore des décisions du FMI ... et j'en passe. Nous manquerait-il un peu de mémoire.....non, je ne pense pas. Simplement aujourd'hui, il faut consommer, aller vite, passer à autre chose, avancer. Mais avancer, c'est aussi savoir revenir en arrière, analyser une situation avec le recul qu'elle mérite et donc utiliser un brin sa mémoire. Moi, ma mémoire elle me dit : Il n'y a pas si longtemps, on baignait dans une crise financière. 2007, elle s'amorce. 2008 elle culmine. Avec les faillites que l'on connait, les sauvetages des banques et répercussions politique. Au fil des documentaires et articles sur cette crise, on en apprenait davantage sur l'entourage du monde de la finance : ses ramifications, ses points d'ancrage et ses ficelles, mais également sur son fonctionnement. Et c'est au détour de ses mêmes documentaires que l'on comprenait que ''l'entourage'' au complet connaissait le problème, le risque voir même le ''gouffre'' qui se profilait. Un peu plus loin dans les documentaires, on apprend alors que les ''sociétés'' de surveillance, d'encadrement, d'évaluations du risque : des entreprises de cotations auraient manœuvré pour se taire pendant toute la montée en puissance et l'explosion de cette déroute. Ce sont ces mêmes sociétés de cotations qui aujourd'hui, sortent de plus en plus souvent dans les médias pour nous mettre en garde sur la solidité de tel état, la crédibilité de telle entreprise, ou la validité de telle pratique commerciale...et on leur accorde du crédit ????? Oui, on accorde de l'importance à leurs états d'âme. Il n'y a qu'à lire les journaux, on leur demande leur avis, on en redemande même puisque en plus, ça fait bouger les marchés, fluctuer l'économie et donc vendre du papier, de l'opinion et des pseudo idées. Ne seraient-elles pas, ces agences de notations, encore une fois au coeur de la crise (en EU), l'amorçant et l'alimentant ? Quelle est leur crédibilité aujourd'hui, ont-elles changé la Direction, leur code d'éthique ou leur pratique pour que l'on puisse à ce point se fier à leur jugement ? Pour ma part, il me faudra s'en aucun doute plusieurs sources d'informations pour me forger une opinion, mon opinion. Nous avons un devoir de mémoire et un droit d'analyse sur ce que nous restitue cette mémoire ! Référence des documentaires sur demande ;-) L'AMF (Autorité des marchés financiers) décide de fêter le mois de la littératie financière en sortant 3 guides portant sur la gestion des finances personnelles. L'un des 3 guide à pour titre : Comment choisir avec qui investir ? http://is.gd/eIk54Z L'exemple avec Monsieur Lafortune en page 5 et vraiment bon tellement il est proche de plusieurs situations vécues. Une image vaut mille mots : Vous pouvez commander les 3 exemplaires gratuitement en communiquant avec le Centre d'information de l'Autorité au 1 877 525-0337.
Si vous avez des difficultés à lire ou à avoir vos exemplaires papiers, n'hésitez pas à me joindre et je me ferai un plaisir de vous aider. msalomon@videotron.ca Le Régime de pension agréé collectif (RPAC)
Il faudra donc s'assurer de la pertinence du régime dans un plan de retraite personnalisé. En effet, le REER n'est pas toujours la bonne avenue, spécialement pour les gens à faible revenu. Ceux-ci pourraient se voir couper leur pension de Sécurité de Vieillesse (SV) si les montants sortis de leurs REER les faisaient changer de fourchette d'imposition. Il est à noter que le gouvernement pourrait changer certaines dispositions à la loi afin que les cotisations patronales ne soient pas assorties des déductions à la source (DAS) normalement exigibles. En fait, dans plusieurs régimes, l'employeur qui verse un boni REER à son employé de 1 000$, se voit obligé de payer le FSS (fonds des services de santé), l'Ass-emploi, la CSST et autres. La cotisation patronale s'élève donc à 1 150$. En dernier point, n'oublions pas qu'il s'agit encore d'un projet. Le fait que le gouvernement se départisse de l'administration réelle de ce régime complexifie légèrement la mise en place rapide de celui-ci.
(1) Statistique Canada, Tableau CANSIM 052-0001. (2) Investment Executive, Top tips Canadian retirees wish they knew before they retired, 31 mai 2011. www.investmentexecutive.com/client/en/News.asp?id=58330&IdSection=3&cat=3&BImageCI=1. (3) Sullivan, John, Top 4 risks for baby boomer retirement, 25 mai 2011. www.advisorone.com/article/top-4-risks-baby-boomer-retirement?t=etfs&utm_source=dailywire52511&utm_medium=enewsletter&utm_campaign=dailywire. (4) Société des actuaires, Table de mortalité 2000, Rentes. (5) Sondage de la Financière Manuvie auprès de 1 001 Canadiens âgés de 50 à 65 ans dont le revenu du ménage s'établissait à 50 000$ et plus. Il a été réalisé en ligne par la société Research House entre le 14 et le 23 juillet 2011. (6) Statistique Canada, Régimes de pension au Canada et Enquête sur la population active, avril 2009 Extrait de l'édition d'automne 2011 du magazine Solut!on de Manuvie Article de : conseiller.ca - 19 septembre 2011 - Ronald McKenzie Au nom de milliers d’investisseurs, l’épargnant Ronald Asselin a déposé une requête pour obtenir l’autorisation d’exercer un recours collectif contre Fiducie Desjardins, Desjardins Cabinet de Services Financiers et Desjardins Gestion d’Actifs. Les plaignants réclament le remboursement des sommes qu’ils ont placées dans les dépôts à terme « Placement garanti Pespectives Plus » (PP) et « Placement garanti Gestion Active » (GA). Ils veulent aussi recevoir des dommages et des intérêts. Le litige est simple : les épargnants n’ont pas fait un sou avec ces produits et leur argent est bloqué jusqu’à l’échéance des dépôts, en 2015 dans certains cas. ... Cette nouvelle demande d’exercer un recours collectif s’ajoute à celle déposée il y a un mois contre Desjardins Sécurité financière pour une affaire similaire. Le présent recours s’adresse à toutes les personnes qui, en date du 31 décembre 2008, détenaient le Placement garanti Perspectives Plus ou le Placement garanti Gestion Active. Télécharger l'article complet : ici Janvier 2016 : Mise à jour concernant le recours collectif avec l'article suivant : ici Pour plus d'information : ICI |
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